Life is not
Sabine Morandini: Quelle est ta formation ?
Em Essel: Ecole d'art
SM: Comment es-tu venu à la vidéo?
EE: En travaillant un jour sur after effects… J'adorais Photoshop, c'est une version en mouvement.
SM: Tu es passé du design à la vidéo. Je présume que tout ce que tu avais fait avant t’a beaucoup aidé…
EE: Oui, d'autant que je traite la vidéo principalement comme une animation.
SM: L'énergie créative est-elle compatible avec impératif commercial?
EE: On trouve toujours le temps de faire des choses exclusivement personnelles…
SM: Parmis toutes les icônes du cinéma , quelle est celle avec qui tu prendrais le plus de plaisir à travailler ?
EE: J'aime travailler seule.
SM: Comment t’es venue l’idée de Life is not?
EE: Une nuit d'insomnie chez des amis. J'avais à portée de main un appareil photo et une carte en miroir. Pour m'amuser, j''ai coincé la carte dans mon œil et ai pris des photos.
SM: Qu'est ce qui motive le choix de tes musiques?
EE: Life is not est la vidéo de la chanson éponyme. J'utilise d'ordinaire des pistes qui me plaisent, j'adore la musique.
SM: Qu’est ce qui te passionne le plus dans tes réalisations?
EE: Avoir une idée, un univers, et découvrir où tout ça me mène sans parcours prédéfini.
SM: Comment trouve-t-on l’équilibre entre la technique et la création ?
EE: La technique s'acquiert…
SM: Que veux tu évoquer dans tes vidéos?
EE: Je ne veux rien de précis
SM: Comment fais-tu passer des sentiments dans tes vidéos?
EE: Je n'ai pas d'optique, je fais ce que j'ai envie de faire sur le moment.
SM: Comment décrirais tu ton univers visuel?
EE: Je n'utilise pas les mots pour parler de ce que je fais en image, je ne sais pas
SM: Tu filmes avec quoi?
EE: Une petite caméra; un appareil photo numérique
SM: Quel est pour toi le courant artistique le plus marquant ?
EE: Tous ceux que je découvre jusqu'au prochain.
SM: Que penses tu du Vjing ?
EE: Ca m'intéresse comme toutes les nouvelles techniques; Peut-être que ça permettra de rendre moins barbant les concerts d'électro
SM: Mac ou Pc?
EE: Mac
Look into my eyes
par Em Essel